À l'aube du 9 septembre 2020, le camp surpeuplé de Moria, connu pour ses conditions de vie sordides et ses violences inter-ethniques, était ravagé dans deux incendies successifs.
Personne n'est mort mais ce fut l'étincelle de l'exil chaotique de plus de 12.000 demandeurs d'asile laissés sans abri