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Le rapport de Graphika : soft power et guerre de 4e génération contre l'Algérie -- Ahmed Bensaada

Le rapport de Graphika : soft power et guerre de 4e génération contre l'Algérie -- Ahmed Bensaada
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Le rapport Graphika cherche à créer "une agitation malsaine" en Algérie Résumé par Ammar Zitouni Le rapport de Graphika : soft power et guerre de 4e génération contre l'Algérie qui s'est étendu avec une rapidité tel qu'il est désormais classique de parler d'explosion agressive tant c'est une analyse « commandée » qu'il faut souligner la perversité et la nocivité. Ce rapport à dessein émis en cette conjoncture difficile que traverse l'Algérie découlant des récents incendies à travers la Kabylie, l'assassinat abject du jeune Djamel Bensmaîn à Larbaa Nath Irathen et la rupture des relations diplomatiques de l'Algérie avec le Maroc est à prendre avec la réserve et l'esprit critiques nécessaires en la matière et surtout de menaces qui pèsent sur le pays à travers des parties étrangères à qui se sont associés collaborateurs et traitres visant la déstabilisation du pays, la division et la fitna au sein même de la société algérienne. L'enseignant pédagogique Ahmed Bensaada dans une étude publiée dans la revue Afrique-Asie dans son édition de dimanche dernier décrypte les protagonistes de ce drame qui secoue l'Algérie et toute la région. Il fait le point sur les stratégies des acteurs en présence. Une analyse qui vient à son heure, permet de comprendre le présent des complots qui se trament contre la nation, éclaire certaines pistes, beaucoup d'ombre et de surenchères. L'utilité de la livraison du Pr. Bensaada s'impose pour tous ceux qui suivent les événements actuels en Algérie au Maghreb arabe et en Afrique. Qu4est-ce que cette sortie de Graphika sur l'Algérie. Le Dr.. Bensaada nous le dit très vite et développe avec une pertinence très détaillée ses argumentations et ses preuves afin de ne laisser personne sur sa faim. ; Il insiste à ce propos qu'actuellement l'Algérie est sous le feu nourri d'une guerre de quatrième génération. Il a souligné que le rapport de la dite société spécialisée dans l'analyse de réseau, qui est « une évidente ingérence dans la politique intérieure de l'Algérie cherche à créer une nouvelle agitation malsaine dans la vie du pays ». « Pourquoi l'Algérie ? Pourquoi maintenant ? Quel est le but recherché ? Qui a commandité l'étude ? Qui l'a financé ? Et qui collaboré avec eux pour leur fournir les détails nécessaires, s'est interrogé le chercheur, ajoutant que si « Graphika s'est intéressée à l'Algérie, c'est que ce pays représente un enjeu géostratégique important pour les Etats-Unis'. M. Bensaada note qu'en plus de l'institution présidentielle, c'est l'institution militaire algérienne qui est dénigrée, comme si ces mêmes institutions, aux Etats-Unis ou en Occident n'avaient pas le droit de s'exprimer sur l'état de la Nation. Comme tous les pays du monde, l'Algérie à ses institutions étatiques et s'exprime dans les médias qu'elles jugent adéquat à son message. Aussi bizarre que cela puisse paraître, le rapport de Graphika critique le droit de l'institution militaire de faire des reportages sur les « fake-news » et de dénoncer les agissements de certains groupes qui menacent la sécurité et la souveraineté de l'Algérie. Selon lui il faut que certains passages du rapport Graphika frôlent la déraison : »Les pages et les comptes du réseau ont constamment fait l'éloge de l'armée nationale populaire algérienne. Le réseau a amplifié des images d'exercices d'entrainement et d'autres événements, ainsi que des mêmes et des desseins animés pro-militaires présentant tous l'armée algérienne comme des protecteurs forts et bien équipés du peuple algérien. Est-il donc interdit de faire l'éloge de l'Armée de son pays ?, s'interroge M. Bensaada. 3Nen déplaise à Graphika, l'institution militaire protège non seulement le peuple algérien, mais aussi l'intégrité et la souveraineté du pays », ajoutant encore une ineptie racontée par le rapport : « Graphika reproche à certaines pages d'avoir fait la promotion des élections législatives du 12 juin 2O21. Mais qu'y a-t-il de mal à vouloir encourager les citoyens à accomplir leur devoir électoral ? Pourquoi alors n'avoir rien dit sur ''ces grands démocrates'', vulgaires factotums de ces '' figures de l'opposition'' qui, à l'étranger, empêchaient violemment les personnes à voter ? Il est clair que les informateurs ''autochtones'' ne leur ont pas raconté toute l'histoire aux ''experts'' de Graphika. Ou alors est-ce cette dernière qui a filtré les informations pour diaboliser les institutions étatiques algériennes et sacrifier cette ''opposition'' qui travaille à la destruction du pays avec bénédiction de l'Oncle Sam et de l'OTAN ». Pour s'y faire, M. Bensaada le dit clairement : « Un travail scientifique crédible doit nécessairement analyser les activités des deux protagonistes et non faire preuve de cécité sélective en faveur de celui qu'ion veut soutenir. Le rapport de Graphika montre une faiblesse méthodologue si flagrante que soi-disant travail ''scientifique'' n'est en réalité que de la propagande pour un camp choisi, le même qui a été sélectionné par les organismes américains d' ''exportation'' de la démocratie dans le but de réaliser un ''régime change'' en Algérie par le biais de soft power ». Graphika ne s'arrête pas là. Elle va jusqu'à consacrer une section sur le Maroc et la France intitulée « Maroc malveillante, France traitresse ». Ce qui fait dire à ce chercheur qu'elle prétend que les médias de ces deux pays sont bisounours et que l'Algérie les calomnie. « Alors qu'elle attaque les chaines de télévision étatiques algériennes, Graphika présente France 24 comme une chaine inoffensive, ne précisant pas qu'il s'agit d'une des chaines étatiques françaises qui travaille directement avec le Quai d'Orsay et dont le rôle dans le Hirak a été très partiel (pour ne pas dire hostile à l'Algérie) comme expliqué dans un de mes articles publié en 2O19. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard que son accréditation en Algérie lui a été retirée en juin 2O21 ». Explique-t-il encore. « Quant au Maroc, son action belliqueuse et agressive sur les réseaux sociaux contre l'Algérie est passée, elle aussi, sous silence. Il faudrait peut-être rappeler à Graphika l'affaire Pegasus dont elle n'a, bien sûr, pas soufflé mot. Le Maroc n'a-t-il pas espionné 6 000 personnes en Algérie, ou est-ce encore une ''fake-news'' des institutions présidnetielle ou militaire ? Cet Dr. en physique, enseignant pédagogique tirant les conclusions du rapport de Graphika explque que la société Graphika est financée pare des entités directement ou indirectement re ;liées à l'administration américaine, à l'administration britannique, à l'OTAN et à des organismes américains d' « exportation » de la démocratie ; la société Graphika ne fait pas d'études pour informer les citoyens. Elle ne s'intéresse qu'aux médias sociaux des pays ciblés par les Etats-Unis ou par certains pays membres de l'OTAN comme la Grande-Bretagne. Ces dernières années, les principaux pays ciblés par les études de la société Graphika sont la Russie, la Chine et l'Iran. Les études sur la Russie sont très nombreuses et très agressives, ce qui confirme l'influence de l'Atlantic Council, le think tank non officiel de l'OTAN ; la société Graphika possède des relations avec certains géants du Web, soit directement, soit à travers ses « experts », elle collabore directement avec Facebook et lui fournit la liste des pages à supprimer. Ce faisant, Facebook n'est pas indispensable, mais se comporte comme une entreprise impliquée dans la mise en œuvre de la politique étrangère étasunienne et de l'OTAN. La société Graphika n'a pas étudié les médias sociaux algériens fortuitement. Le timing, le parti pris et les attaques frontales contre les institutions fondamentales de l'État algérien indiquent que cette étude a été commanditée par des groupes ou des états qui favorisent un « régime change » en Algérie et qui y travaillent; Ce dernier point est évident à la lecture du rapport qui présente négativement les institutions étatiques algériennes et positivement ce qu'il appelle « les figures de l'opposition »; Aucune étude n'a par contre été réalisée sur l'utilisation des médias sociaux par « les figures de l'opposition », ce qui enlève toute scientificité au rapport et en fait, par voie de conséquence, un pur outil de propagande contre l'Algérie; Les relations entre certaines « figures de l'opposition » et l'administration américaine (explicitées dans mon livre sur la question) ayant été complètement occultées dans le rapport, on en déduit que Graphika joue un rôle analogue et complémentaire aux organismes américains d'« exportation » de la démocratie; Ces trois derniers points indiquent que Graphika, ainsi que les diverses institutions (étatiques ou non) avec lesquelles elle collabore, supportent et soutiennent activement « les figures de l'opposition » contre l'État algérien; Tout cela nous amène à conclure que Graphika est un outil de plus dans l'arsenal du soft poweraméricain, spécialisé dans un nouveau « champ de bataille » qui n'est autre que le monde virtuel des médias sociaux.Les actions menées de manière agressive par les organismes américains d'« exportation » de la démocratie, combinées à celles des sainsi que les attaques de la société Graphika montrent, de manière non équivoque, que l'Algérie est actuellement sous le feu nourri d'une guerre de quatrième génération. A.Z. Nation

Le rapport Graphika cherche à créer "une agitation malsaine" en Algérie Résumé par Ammar Zitouni Le rapport de Graphika : soft power et guerre de 4e génération contre l'Algérie qui s'est étendu avec une rapidité tel qu'il est désormais classique de parler d'explosion agressive tant c'est une analyse « commandée » qu'il faut souligner la perversité et la nocivité. Ce rapport à dessein émis en cette conjoncture difficile que traverse l'Algérie découlant des récents incendies à travers la Kabylie, l'assassinat abject du jeune Djamel Bensmaîn à Larbaa Nath Irathen et la rupture des relations diplomatiques de l'Algérie avec le Maroc est à prendre avec la réserve et l'esprit critiques nécessaires en la matière et surtout de menaces qui pèsent sur le pays à travers des parties étrangères à qui se sont associés collaborateurs et traitres visant la déstabilisation du pays, la division et la fitna au sein même de la société algérienne. L'enseignant pédagogique Ahmed Bensaada dans une étude publiée dans la revue Afrique-Asie dans son édition de dimanche dernier décrypte les protagonistes de ce drame qui secoue l'Algérie et toute la région. Il fait le point sur les stratégies des acteurs en présence. Une analyse qui vient à son heure, permet de comprendre le présent des complots qui se trament contre la nation, éclaire certaines pistes, beaucoup d'ombre et de surenchères. L'utilité de la livraison du Pr. Bensaada s'impose pour tous ceux qui suivent les événements actuels en Algérie au Maghreb arabe et en Afrique. Qu4est-ce que cette sortie de Graphika sur l'Algérie. Le Dr.. Bensaada nous le dit très vite et développe avec une pertinence très détaillée ses argumentations et ses preuves afin de ne laisser personne sur sa faim. ; Il insiste à ce propos qu'actuellement l'Algérie est sous le feu nourri d'une guerre de quatrième génération. Il a souligné que le rapport de la dite société spécialisée dans l'analyse de réseau, qui est « une évidente ingérence dans la politique intérieure de l'Algérie cherche à créer une nouvelle agitation malsaine dans la vie du pays ». « Pourquoi l'Algérie ? Pourquoi maintenant ? Quel est le but recherché ? Qui a commandité l'étude ? Qui l'a financé ? Et qui collaboré avec eux pour leur fournir les détails nécessaires, s'est interrogé le chercheur, ajoutant que si « Graphika s'est intéressée à l'Algérie, c'est que ce pays représente un enjeu géostratégique important pour les Etats-Unis'. M. Bensaada note qu'en plus de l'institution présidentielle, c'est l'institution militaire algérienne qui est dénigrée, comme si ces mêmes institutions, aux Etats-Unis ou en Occident n'avaient pas le droit de s'exprimer sur l'état de la Nation. Comme tous les pays du monde, l'Algérie à ses institutions étatiques et s'exprime dans les médias qu'elles jugent adéquat à son message. Aussi bizarre que cela puisse paraître, le rapport de Graphika critique le droit de l'institution militaire de faire des reportages sur les « fake-news » et de dénoncer les agissements de certains groupes qui menacent la sécurité et la souveraineté de l'Algérie. Selon lui il faut que certains passages du rapport Graphika frôlent la déraison : »Les pages et les comptes du réseau ont constamment fait l'éloge de l'armée nationale populaire algérienne. Le réseau a amplifié des images d'exercices d'entrainement et d'autres événements, ainsi que des mêmes et des desseins animés pro-militaires présentant tous l'armée algérienne comme des protecteurs forts et bien équipés du peuple algérien. Est-il donc interdit de faire l'éloge de l'Armée de son pays ?, s'interroge M. Bensaada. 3Nen déplaise à Graphika, l'institution militaire protège non seulement le peuple algérien, mais aussi l'intégrité et la souveraineté du pays », ajoutant encore une ineptie racontée par le rapport : « Graphika reproche à certaines pages d'avoir fait la promotion des élections législatives du 12 juin 2O21. Mais qu'y a-t-il de mal à vouloir encourager les citoyens à accomplir leur devoir électoral ? Pourquoi alors n'avoir rien dit sur ''ces grands démocrates'', vulgaires factotums de ces '' figures de l'opposition'' qui, à l'étranger, empêchaient violemment les personnes à voter ? Il est clair que les informateurs ''autochtones'' ne leur ont pas raconté toute l'histoire aux ''experts'' de Graphika. Ou alors est-ce cette dernière qui a filtré les informations pour diaboliser les institutions étatiques algériennes et sacrifier cette ''opposition'' qui travaille à la destruction du pays avec bénédiction de l'Oncle Sam et de l'OTAN ». Pour s'y faire, M. Bensaada le dit clairement : « Un travail scientifique crédible doit nécessairement analyser les activités des deux protagonistes et non faire preuve de cécité sélective en faveur de celui qu'ion veut soutenir. Le rapport de Graphika montre une faiblesse méthodologue si flagrante que soi-disant travail ''scientifique'' n'est en réalité que de la propagande pour un camp choisi, le même qui a été sélectionné par les organismes américains d' ''exportation'' de la démocratie dans le but de réaliser un ''régime change'' en Algérie par le biais de soft power ». Graphika ne s'arrête pas là. Elle va jusqu'à consacrer une section sur le Maroc et la France intitulée « Maroc malveillante, France traitresse ». Ce qui fait dire à ce chercheur qu'elle prétend que les médias de ces deux pays sont bisounours et que l'Algérie les calomnie. « Alors qu'elle attaque les chaines de télévision étatiques algériennes, Graphika présente France 24 comme une chaine inoffensive, ne précisant pas qu'il s'agit d'une des chaines étatiques françaises qui travaille directement avec le Quai d'Orsay et dont le rôle dans le Hirak a été très partiel (pour ne pas dire hostile à l'Algérie) comme expliqué dans un de mes articles publié en 2O19. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard que son accréditation en Algérie lui a été retirée en juin 2O21 ». Explique-t-il encore. « Quant au Maroc, son action belliqueuse et agressive sur les réseaux sociaux contre l'Algérie est passée, elle aussi, sous silence. Il faudrait peut-être rappeler à Graphika l'affaire Pegasus dont elle n'a, bien sûr, pas soufflé mot. Le Maroc n'a-t-il pas espionné 6 000 personnes en Algérie, ou est-ce encore une ''fake-news'' des institutions présidnetielle ou militaire ? Cet Dr. en physique, enseignant pédagogique tirant les conclusions du rapport de Graphika explque que la société Graphika est financée pare des entités directement ou indirectement re ;liées à l'administration américaine, à l'administration britannique, à l'OTAN et à des organismes américains d' « exportation » de la démocratie ; la société Graphika ne fait pas d'études pour informer les citoyens. Elle ne s'intéresse qu'aux médias sociaux des pays ciblés par les Etats-Unis ou par certains pays membres de l'OTAN comme la Grande-Bretagne. Ces dernières années, les principaux pays ciblés par les études de la société Graphika sont la Russie, la Chine et l'Iran. Les études sur la Russie sont très nombreuses et très agressives, ce qui confirme l'influence de l'Atlantic Council, le think tank non officiel de l'OTAN ; la société Graphika possède des relations avec certains géants du Web, soit directement, soit à travers ses « experts », elle collabore directement avec Facebook et lui fournit la liste des pages à supprimer. Ce faisant, Facebook n'est pas indispensable, mais se comporte comme une entreprise impliquée dans la mise en œuvre de la politique étrangère étasunienne et de l'OTAN. La société Graphika n'a pas étudié les médias sociaux algériens fortuitement. Le timing, le parti pris et les attaques frontales contre les institutions fondamentales de l'État algérien indiquent que cette étude a été commanditée par des groupes ou des états qui favorisent un « régime change » en Algérie et qui y travaillent; Ce dernier point est évident à la lecture du rapport qui présente négativement les institutions étatiques algériennes et positivement ce qu'il appelle « les figures de l'opposition »; Aucune étude n'a par contre été réalisée sur l'utilisation des médias sociaux par « les figures de l'opposition », ce qui enlève toute scientificité au rapport et en fait, par voie de conséquence, un pur outil de propagande contre l'Algérie; Les relations entre certaines « figures de l'opposition » et l'administration américaine (explicitées dans mon livre sur la question) ayant été complètement occultées dans le rapport, on en déduit que Graphika joue un rôle analogue et complémentaire aux organismes américains d'« exportation » de la démocratie; Ces trois derniers points indiquent que Graphika, ainsi que les diverses institutions (étatiques ou non) avec lesquelles elle collabore, supportent et soutiennent activement « les figures de l'opposition » contre l'État algérien; Tout cela nous amène à conclure que Graphika est un outil de plus dans l'arsenal du soft poweraméricain, spécialisé dans un nouveau « champ de bataille » qui n'est autre que le monde virtuel des médias sociaux.Les actions menées de manière agressive par les organismes américains d'« exportation » de la démocratie, combinées à celles des sainsi que les attaques de la société Graphika montrent, de manière non équivoque, que l'Algérie est actuellement sous le feu nourri d'une guerre de quatrième génération. 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