Lorsque Chantal (24 ans) se présente à la gendarmerie, le 1er avril 1997, le visage brûlé au chloroforme, l’air hagard, avec l’épouvantable récit de son calvaire, c’est l’étonnement : personne n’avait encore signalé la disparition de la jeune femme, qui vivait seule et s’était disputée avec son petit ami. Son récit lui-même fait froid dans le dos, un véritable scénario de « snuff movie » en plein Charleroi…