« Déblocage » et
« accélération » : le sentiment est largement partagé par les acteurs de la reconstruction du patrimoine religieux à Mossoul, qui fut la « capitale » irakienne de l’État islamique entre 2014 et 2017. Une reprise d’abord due au recul de la pandémie de Covid-19.
« Jusqu’en novembre, Mossoul était fermée aux visiteurs internationaux, ce qui a fait perdre du temps à nos projets », déplore Paolo Fontani, responsable de l’Unesco pour l’Irak.
Cet organisme des Nations unies œuvre – grâce à des fonds émiratis – à la réhabilitation de trois sites religieux, parmi lesquels la mosquée Al-Nouri, la plus emblématique de Mossoul avec son minaret penché datant du XII