PHOTO KIM KLEMENT, ARCHIVES USA TODAY SPORTS
Mikhail Sergachev (98) et Cole Caufield (22)
(Tampa) Si un entraîneur veut fouetter un de ses joueurs, il n’a qu’à le traiter de « mou ». Difficile de trouver pire étiquette pour un hockeyeur.
Publié le 1
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Guillaume Lefrançois
La Presse
Ce mot était d’ailleurs un des faits saillants de la tirade de Michel Therrien chez les Penguins de Pittsburgh en 2006. « Ils sont mous. Je n’ai jamais vu un groupe de défenseurs mou comme ça », avait-il lancé, dans un point de presse qui mériterait bien une version karaoké (voilà, c’est dit).