Être proche ou aidant de personne souffrant de dépression, bipolarité, schizophrénie, TOC ou dépression peut parfois être éreintant. "Ces personnes ont besoin de parler, d'échanger leurs expériences et de partager. Pour certains, leurs proches peuvent par exemple refuser un traitement, quitter l'hôpital ou même avoir une prise en charge au quotidien qui demande un certain investissement de la part de leurs proches", entame Marylène Singabrayen-Tampigny, pour l’équipe de l'Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques (UNAFAM 974).