La réforme de la loi 101 porte atteinte au système scolaire anglais, dénoncent les commissions scolaires anglophones, qui réclament que Québec modifie son projet de loi afin que les enfants de travailleurs temporaires puissent continuer d’éviter de fréquenter l’école française si leur séjour se prolonge au-delà de trois ans.