Sous la pression des créanciers, CNIM est contraint de remettre Bertin Technologies en vente Les mauvais résultats financiers de CNIM ont effrayé ses créanciers. La famille Dmitrieff, qui détient le groupe marseillais (56,56%) est contrainte de remettre en vente sa pépite Bertin Technologies (défense et sécurité). Michel Cabirol 3 mn Emmanuel Macron teste une des technologies de Bertin Technologies (vision nocturne) (Crédits : Bertin Technologies) Sous la pression des créanciers, la famille Dmitrieff, qui détient le groupe CNIM (56,56% et 65,55 % des droits de vote) est contrainte de remettre en vente sa pépite Bertin Technologies, selon des sources concordantes. Le spectre de cette cession avait été pourtant écarté, la menace d'un démantèlement s'était également éloignée pour ce petit conglomérat grâce à un accord trouvé en février dernier entre les créanciers, les assureurs crédit et CNIM. Finalement, ce n'était que partie remise en dépit du soutien de l'État (prêt du FDES de 40 millions d'euros) et surtout de cet accord qui maintenant